lundi 28 mars 2022

Jacques Halbronn Le mirage des cycles planétaires longs et des périodes courtes en Astrologie

jacques Halbronn Le mirage des cycles planétaires longs et des périodes courtes en Astrologie . En 1967, André Barbault publiait, chez J. J. Pauvert ses « Astres et l’Histoire » qui allait lancer son « indice cyclique ». (indice de concentration planétaire) englobant Uranus, Neptune et Pluton). Mille ans plus tôt, environ, Albumasar avait développé une théorie dite des Grandes Conjonctions -(Jupiter-Saturne – on ignorait alors l’existence d’astres transsaturniens). Limité au cycle Jupiter- Saturne de 20 ans, Albumasar avait réussi à regrouper toute une série de conjonctions au sein d’un même ensemble, sur la base des triplicités (signe de feu, de terre, d’air et d’eau)/, ce qui permettait de couvrir des périodes bien plus longues (cf Denis Labouré. Astrologie et religion, Jean Patrice Boudet, Nigromancie, Presses de la Sorbonne) On en arrivait à des ordres de grandeur frisant le millénaire sans oublier à la fin du XVIIIe siècle, la théorie des ères précessionnelles d’un Charles François Dupuis (Origine de tous les cultes), chaque ère couvrant plus de 2000 ans! On est bien dans le « temps long » lequel conviendrait selon certains chercheurs contemporains, comme Yves Lenoble, à la vocation de l’astrologie. Or, pour notre part, nous nous en tiendrons à un cycle saturnien de 15 ans, se répétant inlassablement. Selon nous, les cycles longs n’existeraient que du fait des cycles courts. Pour nous, l’astrologie est au service de la Cité et les cycles longs sont disproportionnés par rapport aux besoins de celle-ci. Quinze ans, c’est déjà un bail! Il importe également que la cyclicité planétaire découpe le temps en périodes de même durée, ce que permet une astronomie basique, c’est à dire sans combinaison ni mélange. La sociologie nous semble en ce sens bien mieux convenir à l’astrologie que l’Histoire et réciproquement. Ce n’est d’ailleurs qu’à cette condition que des statistiques peuvent être envisagées sur un grand nombre de configurations. Or, le propre des cycles longs est de se reproduire à des intervalles relativement espacés. Nous avons ainsi montré que le cycle Saturne Neptune préconisé par André Barbault, ne comportait, de 36 ans en 36 ans, que fort peu de conjonctions, une en 1917, une en 1953, une en 1989 en tout et pour tout pour un XXe siècle si riche en événements majeurs, ce qui faisait que toutes sortes d’échéances importantes passaient entre les mailles du filet d’une telle astrologie comme 1957, 1962, 1977 ou… 2022. Paradoxalement, le tort de la démarche de Barbault aura été de ne pas comprendre que l’astrologie a besoin de phases d’une certaine durée- 7 x 2 ans est une bonne mesure- et non d’une durée brève d’un an voire moins! Probablement parce que Barbault restait marqué par l’idée que l’Histoire se caractériserait par des dates bien précises, ce qui n’est en vérité nullement l’approche de la « Nouvelle Histoire » (longue durée) En tout état de cause, nous laisserons aux Historiens leur découpage en séries de siècles (Moyen Age, Renaissance etc). Le cycle de 15 ans est à échelle humaine, d’autant qu’il se décompose en deux périodes égales de 7 ans, qui apportent un rythme du fait qu’elles s’opposent et alternent, ce qui permet de bien les différencier. Or, André Barbault ne sera pas parvenu, selon nous, à modéliser une quelconque alternance, incapable de distinguer entre deux conjonctions, ce qui le conduit à des formulations vagues et ambigues qui peuvent dire une chose et son contraire – c’est le cas des deux « guerres mondiales » qui n’ont pas du tout suivi le même scénario- au nom d ‘une échéance « importante »(??). Quant à son indice cyclique, correspondant à un graphique de synthèse, il se limite à indiquer des temps inégaux de tension et de détente, ce qui est un peu court d’autant que ces notions sont très relatives, et qu’une guerre de conquéte n’est pas une guerre d’indépendance, ce qui pose d’ailleurs le probléme de la qualification du conflit actuel (Russie-Ukraine) JHB 28 03 22

vendredi 18 mars 2022

Jacques Halbronn L'esprit des colloques astrologiques, leur vraie raison d'être

jacques halbronn L’esprit des colloques astrologiques, leur vraie raison d’être Le rôle des colloques est selon nous de faire apparaitre des clivages.Tout bon animateur de tables rondes doit susciter, découvrir chez les participants des lignes de clivage, ce qui exige évidemment de rassembler des positions aussi diverses que possible et de parvenir à mettre d’accord sur ce qui rapproche tout autant que sur ce qui divise. Cela vaut dans le domaine politique dans les médias que dans le domaine astrologique et en fait dans tous les domaines. Quand on ne parvient pas à faire ressortir des clvages et donc à montrer les limites de ce que l’on pouvait considérer un peu vite comme un consensus, on envoie des signes de faiblesse aux observateurs. C’est ce qui explique actuellement la démarche d’un Serge Bret Morel et avant lui d’un Philippe Zarka, qui parle de l’astrologie comme d’un tout monolithique, cristallisé. Il est donc urgent de faire étalage d’une certaine diversité pour dissuader les potentielles attaques. C’est le rôle des colloques astrologiques que d’éviter une telle perception des choses. Malheureusement, depuis une trentaine d’années,, une tendance dans un certain milieu astrologique aura été d’écarter les voix dissonantes, chez Yves Lenoble (ARRC Hermés) comme chez Franck Agier (Baglis TV) Nous nous opposons vigoureusement à une telle stratégie qui ouvre un boulevard aux astrosceptiques face à une cible qui reste figée et qui ne se renouvelle guère. C’est pourquoi, nous pensons qu’il est grand temps de penser à concevoir un « nouveau visage pour l’astrologie », ce qui pourrait être le thème d’un prochain colloque organisé par la BURA (Bibliothèque Universitaire de Recherche Astrologique) et la BINA (Bibliothèque Internationale de Numérisation en Astrologie) à l’automne 2022. Nous lançons donc un Appel à communications autour de deux axes: 1 bilan de l’astrologie: que valent les statistiques, que valent les succés prévisionnels et 2 état de l’anti-astrologie, valeur de ses arguments avec un 3e axe, autour de ce « nouveau visage » représenté notamment mais pas seulement par les avancées remarquables de l’Astrologie EXOLS. A ce propos, il convient d’applique la grille EXOLS à la problématique générale des Colloques. La phase de 7 ans de solsticialité a vocation à casser une image d’un seul tenant de l’astrologie car toute avancée conduit à une croisée des chemins. Même les théories les plus assurées débouchent sur des clivages. A contrario, au bout de 7 ans, l’on passe à une phase d’équinoxialité qui va tendre à unifier le monde des chercheurs autour d’un courant qui sera parvenu à l’emporter. C’est ainsi que fonctionne toute Cité scientifique ou autre. Une mue de l’astrologie est nécessaire. D’autres mues ont précédé et l’on peut penser qu’autour d’André Barbault entre autres – on peut penser à Jean Pierre Nicola ou à Michel Gauquelin, chacun en son style- a pu se développer une certaine espérance de renouveau de l’astrologie, pendant un bon demi-siècle. Mais l’on est en droit désormais d’en faire le bilan et de constater la nécessité de l’émergence d’un nouvel élan pour prendre la reléve de la génération née dans les années Vingt du siècle dernier. Il importe notamment de tirer tous les enseignements de la crise actuelle de 2022 en ce qui concerne l’arsenal de l’astrologie à la Barbault. Etrangement, les choses semblent se répéter, comme il y a 60 ans. Barbault n’avait pas vu venir la crise de 1962 pas plus que celle de 202-il décéde en 2019 mais cela n’empêche pas qu’il aurait pu annoncer 2022 (au lieu de s’égarer sur une affaire de pandémie qui ne reléve pas de la géopolitique. Dans les deux cas, Barbault va pointer en vain 1965 (La crise mondiale, Ed Albin Michel) et à la suite Lenoble 2026 (voir le site des astrophiles) du fait de la prochaine conjonction Saturne Neptune. Certes, reconnaissons que Barbault a eu raison de mettre la Russie au coeur de la recherche astrologique mais il aura manqué des rendez vous majeurs au niveau de la chronologie prévisionnelle sans parler de rendez vous sans effet pour le début des années 80. La question est de savoir si l’on va continuer à défendre coute que coute une cause perdue ou bien si l’on va reconnaitre qu’il est temps de changer de logiciel: Envoyez nous donc votre accord pour participer à ce forum qui sera structuré à partir de vos propositions comme ce fut le cas en novembre 2004 qui fut un grand rassemblement des divers courants et qui fut prolongé par la mise en place de notre télévision à partir de 2007-2008 où l’on mit en ligne de nombreuses archves vidéo de nos colloques depuis les 20 ans écoulés alors. Cela dit, c’est bien en 2025-2026 que le milieu astrologique devrait trouver son chemin de Damas avec le passage de Saturne sur l’axe équinoxial bélier-balance non point en raison de la validation des prévisions d’un Lenoble mais parce que ce passage devrait être un signal fort pour les 7 années qui suivront quant à l’intégration de l’astrologie dans le champ de la science politique et sa reconnaissance comme un protagoniste incontournable, ce qui signifie à terme l’effondrement de l’ostracisme dont elles est victime, du fait d’une diabolisation et d’une stigmatisation/ C’est le rôle de la phase équinoxiale d’abolir les frontières. JHB 18 03 22

mercredi 16 mars 2022

Jacques Halbronn Le mirage des conjonctions Saturne Uranus et Saturne Neptune sur l'axe solsticial en 1988-89

jacques Halbronn Le mirage de la conjonction Saturne Uranus Neptune en 1988 sur l'axe solsticial. Baglis TV vient de mettre en ligne des exposé de Gilles Verrier sur le "cycle" Saturne Uranus avec une conjonction, fin sagittaire-début capicorne laquelle coincide grosso modo avec le "cycle" Saturne-Neptune, d'où des réflexions sur les événements de 1989 que l'on associe généralement à la conjonction Saturne Neptune. Mais c'est oublier une notion bien plus évidente, à savoir le passage de Saturne sur l'axe solsticial capricorne-cancer qui est le vrai moteur du processus. Cette coincidence entre le changement de phase septennal de Saturne et les formation de ces deux conjonctions aura ainsi entrainé des conclusions parfaitement erronées, ce qui est le propre des coincidences. Il importe de comprendre que les cycles longs- 36 ans pour Saturne Neptune et 45 ans pour Saturne Uranus ne sont validés que par le biais des cycles courts avec lesquels ils coincident périodiquement. On peut le démontrer en observant que ces deux cycles ne rendent pas compte de toute une série d'événements du même odre, ce qu'en revanche permet le cycle Saturne-axes précessionnels de l'astrologie EXOLS, faisant alterner Equinoxialoité et solsticialité. Le défaut de ces deux cycles bi-planétaires en question qui se trouvent avoir coincidé fin 1988 début 1989, c'est de ne pas comporter de binarité et donc d'interpréter à l'identique les conjonctions ainsi formées, sans teiir le moindre compte de leur positionnement zodiacal: quarte printemps, quarte Eté etc comme si cela était indifférent. On a donc là une approche très grossière au niveau cyclologique tant chez Barnault, chez Lenoble que chez Verrier. Autrement dit, il y a là un appauvrissement regrettable de l'analyse cyclologique, à la fois au niveau d'un balisage chronologique lacunaire de l'Histoire du XX siècle et du début du XXIe siècle, et là la fois en ne distinguant pas les conjonctions successives de chaque cycle. L'outil ainsi proposé par ces chercheurs est bien moins performant que celui que nous avons proposé et il serait bon que Baglis TV instaure un débat contradictoire à ce sujet dans l'intérêt et pour l'honneur de la cause astrologique. Ce serait désorùaais grand temps! Quelques exemples des carences du cycle Saturne Neptune déjà signalés mais qui pourraient être mises en évidence pour le cycle Saturne Uranus-on notera dans le en 1977 (soit un demi cycle de Saturne, qui raméne des périodes de même nature que pour 1989-1991 mais aussi que 2022. Quand Lenoble annonce pour 2026 des effets comparables à ceux de 1989 du fait d'une nouvelle conjonction Saturne-Neptune, il ne tient pas compte du fait qu'en 2026 la conjonction aura lieu sur l'axe équinoxial dont les effets diffèrent radicalement de 1989; sur l'axe solsticial. A bon entendeur salut. Errare humanum est, perseverare diabolicum. Verrier signale que la prochaine conjonction Saturne-Uranus aura lieu en 2032. L'alignement du cycle Saturne Uranus n'aura eu qu'un temps et il y a là un décrochage. En tout état de cause, Verrier qui fait son exposé en 2021 ne "voit" evidemment pas venir les événements de 2022 pas plus que Lenoble., qui s'inscrivent dans une phase solsticiale de 7 ans qui s'achèvera fin 2025. Il est vrai que pour cette "école" d'astrologie, la notion de phase de 7 ans est étrangère et qu'ils croient que l'impact d'une conjonction se réduit à l'année durant laquelle elle survient et c'est ainsi que Barbault associait Saturne Neptune à la seule année 1953! A ce propos, le passage de Saturne en phase équinoxiale, ce qui englobe le moment de la dite conjonction, fut d'abord celui de la formation de la Communauté Européenne, donc strictement rien à voir les événements de 1989, en phase solsticiale. De même en 2025-26, on sera en phase équinoxiale et non plus en phase solsticiale comme en 1989, ce qui signifie que la période solsticiale actuelle s'achèvera et la phase suivante en prendra le contre pied. Selon nous, une phase de 7 ans commence par un signal fort - c'est la conception (au sens de la procréation) au moment de la conjonction et atteint son pic - c'est l'accouchement-à mi- parcours, soit 3 ans et demi. En l'occurrence, 1988 produira tous ses effets en 1991 avec le démantélement de l'URSS. De même, ce qui se passe actuellement en 2022 est le pic de la phase de 7 ans en astrologie EXOLS et cela aura débuté avec les problémes posés par le Royaume Uni aboutissant au BREXIT. Ce qui d'ailleurs nous indique que l'Union Européenne n'a pas fini d'être affectée par la phase solsticiale actuelle, ce qui fait pendant à l'Ouest à ce qui se produisit à l'Est de l'Europe en 1989, sous la même configuration. Par ailleurs, Verrier s'intéresse aux aspects entre les deux planétes au lieu de s'ancrer sur le passage de Saturne sur les axes saisonniers, rompant en cela avec la théorie des grandes conjonctions d'Albumasarr. pour Jupiter-Saturne -(on ignorait alors l'existence d'Uranus mais pas du dieu). Saturne joue un rôle important également pour les périodes de 300 ans en 300 ans, ce qui aboutira à 1789 (cf l'ouvrage de Denis Labouré Astrologie et religion). Mais ce qui fait surtout probléme, ne l'oublions pas, c'est le recours de Verrier à toutes les planétes du systéme solaire alors que cela correspond à un géocentrisme quand on croyait que les planétes tournaient autour de la Terre. L'astrologie n'a pas assumé cette révolution copernicienne du XVIe siècle. Avec le polyplanétarisme, aucune configuration ne se répété exactement car il y a toujours un autre mélange planétaire alors qu'en astrologie EXOLS, toutes les phase du meme type ont le même profil, puisque seul Saturne compte en tant que planéte, dans un processus héliocentré qui veut qu'il'y ait qu'un seul et unique facteur central. Saturne est le coeur du systéme astrologique.(cf notre manifeste "L' Astrologie selon Saturne, 1994, paru en période solsticiale comme actuellement, 28 ans plus tard. IL aura fallu tout un cycle de Saturne pour que la vérité l'emporte/ La période solsticiale actuelle est une invitation à affirmer qu'il n'y a pas une seule Astrologie qui serait celle de Barbault, Lenoble et Verrier mais qu'il existe une alternative, celle de l'Astrologie EXOLS et les adversaires de l'astrologie comme Serge Bret Morel seraient bien avisés de mettre tous les chercheurs en astrologie dans le même sac. Il semble d'ailleurs qu'à partir de 2026, en phase équinoxiale, la supériorité de l'astrologie EXOLS fera l'objet d'un consensus général et que les pratiques d'un Verrier et d'un Lenoble auront fait long feu?. (cf Verrier Le cycle Saturne Uranus. 1988- 2032 un duo inattendu entre abstraction et incarnation") En tout état de cause, la théorie selon laquelle il faudrait tenir compte de la succession de conjonctions planétaires, dans l'esprit de l'indice cyclique de Barbault, aura été mise à mal car cette période de 1988-89 aura été-avec le recul, bien plus calme que celle que nous traversions actuellement en 2022. Quant au jugement que l'on peut porter sur 1989, il convient désormais de le relativiser car si cela se trouve, cela n'aura été qu'un moment sans lendemain à long terme. En cyclologie, rien n'est d'ailleurs définitif et la gravite de événements dépend souvent davantage des leaders, que des astres. Avec d'autres leaders que ceux qui sont en place actuellement, il est fort probable, comme d'ailleurs en 1989, que les choses auraient pu prendre une toute autre tournure. JHB 16 03 22

vendredi 4 mars 2022

Jacques Halbronn Etudes solsticiales 1 le retrait israélien du Sinai, 2 le Brexit

Jacques Halbronn Etudes solsticiales 1 le retrait israélien du Sinai 2 le Brexit Afin de mettre en perspective la situation géopolitique actuel, nous proposerons deux exemples de "solution" solsticiale. Saturne actuellement se trouve en verseau en phase solsticiale et restera dans ce même climat solsticial jusqu'à la fin de 2025. 1 Le retrait israélien du Sinai. Notice Wikipedia Le retrait du Sinai, occupé par Israel depuis la Guerre des Six Jours (1967, phase équinoxiale) date de 1979, fin de phase solsticiale. Il fut préparé par le voyage d'Anouar El Sadate à Jérusalem en 1978 et les accords de Camp David Noticz Wikipedia Les accords de Camp David furent signés le 17 septembre 1978 , par le président égyptien Anouar el-Sadate et le Premier ministre israélien Menahem Begin, .(....) En 1979, le Sinaï fut échangé par les Israéliens contre un traité de paix avec l'Égypte. Le retrait israélien sur la péninsule entraîna la destruction de colonies de peuplement comme la ville de Yamit, au nord-est. Depuis 1982, la Force multinationale et observateurs au Sinaï surveille la frontière." 2 Le BREXIT Il est remarquable que'un "premier accord préliminaire ait été conclu le 8 décembre 2017, juste au moment où Saturne passe en phase solsticiale.. C'est au cours de cette période que l'on finira par parvenir à sa conclusion définitive car pour se séparer il faut que les deux parties soient d'accord. Notice Wikipedia "Le retrait de l'Union européenne conduit à la négociation d'un accord de retrait et d'un accord commercial et de coopération. Un premier accord préliminaire est conclu le 8 décembre 2017 qui précise les modalités de la période de transition et règle les trois éléments essentiels (droits des citoyens européens, frontière irlandaise et aspect financier)3 et un second accord préliminaire est signé le 19 mars 2018 confirmant la mise en place d'une période de transition jusqu'au 31 décembre 2020, soit un peu moins de deux ans après la sortie effective prévue". Notice Wikipedia Le retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne2, familièrement désigné sous le nom de « Brexit », fait suite au référendum britannique du 23 juin 2016, par lequel 51,89 % des électeurs se sont prononcés pour un retrait de leur pays de l'Union européenne et de l'Euratom. Elle se déroule selon la procédure prévue par l'article 50 du traité sur l'Union européenne (TUE) et devait débuter le 29 mars 2017, lorsque le gouvernement britannique annonce formellement au Conseil européen son intention de quitter l'Union. La sortie effective était prévue pour le 29 mars 2019, mais elle est repoussée trois fois jusqu'au 31 janvier 2020. Le Royaume-Uni était entré en 1973 dans le Marché commun, ce qui avait été confirmé par référendum en 1975, il s'en est séparé en 2020 à la suite du référendum de 2016. La dénonciation du traité sur l'Union européenne avait été repoussée quatre fois par le Parlement, pour finalement être décidée à 51,9 % par le référendum du 23 juin 2016, initié par le Premier ministre britannique David Cameron. Le retrait de l'Union européenne conduit à la négociation d'un accord de retrait et d'un accord commercial et de coopération. Un premier accord préliminaire est conclu le 8 décembre 2017 qui précise les modalités de la période de transition et règle les trois éléments essentiels (droits des citoyens européens, frontière irlandaise et aspect financier)3 et un second accord préliminaire est signé le 19 mars 2018 confirmant la mise en place d'une période de transition jusqu'au 31 décembre 20204, soit un peu moins de deux ans après la sortie effective prévue". Quelles leçons tirer de ces deux exemples pour éclairer le contexte actuel? Dans les deux cas, on assiste à un retrait d'un élément qui avait été un temps intégré au sein d'un ensemble. Dans le cas actuel, il s'agit du refus de la Russie de voir l'Ukraine rejoindre un certain ensemble.(OTAN, UE), à savoir une partie de l'ex URSS. On notera que nombre d'anciennes républiques socialistes soviétiques rejoignirent en 1997 l'UE, au lendemain du passage de Saturne en phase équinoxiale. Notice Wikipedia " Le Parlement européen a adopté, le 4 décembre 1997, la résolution ostlander/Barón Crespo dans laquelle il s'exprime favorablement sur l'ouverture des négociations avec onze pays candidats, à savoir la Bulgarie, l'Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la République tchèque, la Roumanie, la Slovénie" CQFD On observera qu'en phase équinoxiale, les annexions et intégrations ne rencontrent pas de fortes résistances et ce n'est qu'en phase solsticiale que les protestations sont de plus en plus vives. On donnera pour exemple en sus la première Intifada qui débute fin 1987 début 1988, avec Saturne venant de passer en phase solsticiale. "La première intifada, appelée également guerre des pierres, désigne la période de conflit entre les Palestiniens des territoires occupés et Israël, du 9 décembre 1987 et qui prit fin en 1993, avec la signature des Accords d'Oslo. "" Signalons enfin les Accords de Munich de 1938 qui coincidèrent avec l'entrée de Saturne en phase équinoxiale et qui permirent à l'Allemagne d'annexer les Sudétes, germanophones, intégrés dans la Tchécoslovaquie. Cela faisait suite à l'Anschluss: Notice Wikipedia "Alors que le chancelier espère un résultat favorable au maintien de l'indépendance de l'Autriche, l'Allemagne nazie exige l'annulation du plébiscite et la démission de Schuschnigg le 11 mars 1938, peu avant le référendum, qui est annulé. Les troupes de la Wehrmacht entrent en Autriche le 12 mars 1938 pour mettre en œuvre l'annexion, sans rencontrer la moindre opposition. Au cours du mois suivant, les nazis organisent un plébiscite, demandant au peuple de ratifier le rattachement de l'Autriche au Reich, qui, de facto, a déjà eu lieu : 99 % des votes ont été favorables à l'annexion" JHB 04 03 22