jeudi 7 octobre 2021

Jacques Halbronn La question négligée des axes équinoxiaux et solsticiaux pour la recherche astrologique

Jacques Halbronn La question négligée des axes équinoxiaux et solsticiaux pour la recherche astrologique En 1975, nous avons donné à Aalen, lors du Colloque annuel d'Ebertin, une conférence intitulée "Saturn und Kolonialismus", graphiques à l'appui. L'année suivante, nous publiâmes dans Clefs pour l'astrologie (Seghers) un dossier Astrologie Mondiale qui reprenait la méthode consistant à diviser le cycle d'une planéte en 4 périodes sur la base de son passage su les dits axes, Bélier-Balance et Cancer-Capricorne en distinguant nettement le temps équinoxial du temps solsticial, le temps des empires et le temps des indépendances, ce qui donnait les clefs pour 1989 avec l'arrivée de Saturne en Capricorne. L'avantage de cette méthode était de respecter le cycle sidéral de la planéte en évitant de la combiner avec celui d'une autre planéte comme dans le cas de la combinaison Saturne-Neptune traité par André Barbault en 1955 dans Défense et Illustration de l'astrologie Ed Grasset. Par la suite en 1994, nous publierons l'Astrologie selon Saturne axé sur le passage de Saturne à la fin du signe des Poissonss entre 1789 et 1995, cette dernière date qui était encore à venir se voyant nettement confirmée peu après. Or, il ne semble pas que cette voie de recherche ait retenu l'attention. Dans Tests of Astrolrogy. A critical review of hundred of studies par Geoffey Dean, Mather Nias et Smit (Amsterdam, 2106). En 2006 dans notre Livre Blanc de l'Astrologie, préfacé par Geoffrey Dean, nous consacrions des pages à cette question mais il ne semble pas que cela ait retenu l'attention du chercheur australien.Faut-il y voir ce que Gaston Bachelar appelait un "obstacle épistémologique"? On notera que ce découpage correspondait aux 4 signe cardinaux/ La méthode consistant à réduire le référentiel zodiacal à ses axes introduisait quelque part un "objet non identifié" qui se passait à la fois de la combinatoire planétaire et de la symbolique des 12 signes. Mais Michel Gauquelin n'avait il pas centré son travail sur les axes de l'horizon en analogie avec l'équinoxe et du méridien, en analogie avec le solstice? Il reste que plus de 40 ans après nos présentations du modéle, on peut se demander qui aura suivi cette voie qui, actuellement, donne des gages de plus en plus marquants de son intérêt. L'échec prévisionnel de Barbault avec son indice cyclique pour le début des années 80 aurait du faire réfléchir à la méthode des conjonctions planétaires alors que les événements de 1989-91 venaient valider le passage de Saturne sur les axes saisonniers bien plus que la conjonction Saturne-Neptune ne se reproduisant que tous les 36 ans. Or, 1989 aura illustré la thèse selon laquelle la phase solsticiale est fatale pour les empires et les fédérations d'Etats. On l'a vu encore récemmet en phase solsticiale avec le "Brexit". Par ailleurs, nous avion envisagé lors de la précédente décennie le recours aux étoiles fixes "royales" lesquelles permettaient également de découper un cycle monoplanétaire en quatre. Dans le cas de Saturne en périodes de sept ans environ chacune. L'idée de structurer le cycle 'd'une planéte en 4 "saisons aurait pu et du séduire mais c'est passé sous les radars. L'ouvrage néerlandais Astrology under Scrutinyn 2013, qui ne traite que de la recherche neerlandaise montre que notre méthode n'a pas été prise en considération. Tout se passe(cf p. 214 du volume hollandais, comme si tout devait se jouer entre les signes, les maisons, les aspects de planéte à planéte, exclusivement. La prise en compte des axes saisonniers pour suivre la course dune planéte n'était apparemment pas au menu! JHB 07 10 21

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